Du poème à la chanson.

Tant pire. Si vous investissez dans une autre machine, oubliez les tablettes = genre hybride non fiable tout le monde a des soucis avec.

Bernard Dimey "Un soir au Gerpil"

https://m.youtube.com/watch?v=Lm6EtsSoCCg

Mouloudji...Ils lui ont filé le nom d'une impasse, il a pas dû crécher à Andrésy-City assez longtemps. Ivry Gitlis, l'école de musique porte son nom.
Mézig, au 33 rue du général Leclerc, (Moulou avait habité au 56) je pouvais voir depuis la fenêtre de ma cagna la maison de Marcel Allain, l'auteur de
Fantômas (avec Pierre Souvestre). Deux numéros avant, demeurait Lise Delamare, de la Comédie Française...
Y'avait du beau linge, à Andrésymuche... Sont tous dans l'au-delà, sauf un : le Commissaire B.

http://histoire.andresy.free.fr/spec.htm

http://histoire.andresy.free.fr/allain/allain.htm

Danielle Darrieux, Jean Marais... Je recherche une actrice à laquelle ma mère ressemblait. Elle voulait suivre sa trace au cinéma. Avec Pierre Richard-Wilm. C'est encore plus vieux tout ça.

Sur Google, "actrices françaises des années 30/40" cliquer sur "images" ...

Pas trouvée justement ou alors c'est Mireille Balin. Sinon pour rigoler un grand coup = ma soeur était amoureuse de Jacques Dubary dans Les 5 dernières minutes... WOUAH !  

Pierre Vernier est décédé. C'était Rocambole à la télé dans les années 60... On n'avait pas la télé...

Jacques Debary... son adjoint faisait nounouille... comparés à Starsky et Hutch, évidemment...

L'acteur qui jouait Ménardeau, l'adjoint du commissaire Cabrol, c'est celui qui faisait l'éducateur dans "Les grandes gueules",
celui que Nénesse il court après sa voiture, à cause de son petit pote qui s'est blessé avec une hache... Ce qui nous vaut ce mot
de Lino Ventura, après qu'il a réussi à l'arrêter : "Faut pas qu't'essayes de bien faire, Nénesse." Marc Eyraud qu'il s'appelait.

Ah Les grandes gueules je connais pas coeur. On l'imitait l'éducateur avec sa voix traînante et désabusée : "Vous savez m'sieur Valentin... pour des moutons... à cinq pattes... c'est dur ici... c'est loin d'tout."
(Encore un Nénesse alors ?)
Pierre Vernier RIP avec son pif en pied de marmite. Il faisait le journaliste français dans la série Michel Strogoff (Raimud) avec l'anglish odieux son compagnon de route. Truculent.

Au départ, c'était Solange et Lucien. Et c'est après avoir revu pour la nième fois les Grandes Gueules, que Lucien est devenu Nénesse.
Mais Lucien a pas chômé : dans les années 90, accro aux jeux à l'antenne de FIP (j'étais revenu à mes premières amours après mon
escapade sur Radio Libertaire), je gagnais beaucoup : cd, bouquins, places de spectacles. Alors, en retour, j'ai fini par envoyer des
dessins. Un animateur qui prenait mon nom au téléphone m'a dit : "Vous pouvez continuer, on les accroche dans le studio."

Louis Aragon : "J'entends, j'entends"

https://m.youtube.com/watch?v=16bcvvtqRkI

"Comme une étoile au fond d'un trou." Tiens tiens on y revient à la symbolique du trou. En ce qui concerne vos dessins. Ceux-ci valent largement Raiser Bretécher Sempé ; ils eussent mérité d'être des BD. Aujourd'hui avec les I.A. je pense que c'est jouable de faire des planches faciles. Le souci (et j'en sais un bout hélas) n'est plus de publier quoi que ce soit, mais de se faire connaître de vendre. That is the question.

J'ai pensé aussi, au dernier vers, que c'était un poème pour Jacques.
Quant au dessin, en prenant le temps, on peut fignoler, mais j'ai plus la patience. (C'est la flemme, plutôt)...

Michel Grange "Aimons-nous, amis"

https://m.youtube.com/watch?v=mxhMLje7ky8

Quand on a la flemme olympique on récolte des médailles dor...mantes...

Yes. Poil in the paluche...

Baobab !

Le sceptre

J'ai un poil dans la main,
Superbe et souverain.
Je l'ai reçu de la fée Niasse,
Cette fée qui de bonne grâce
Veilla sur mon couffin,
Et me berça si bien
Que j'en suis resté tout mollasse,
Plus indolent qu'une limace.

J'ai un poil dans la louche.
La sueur l'effarouche.
Quoi ? sur le terrain du boulot
Je devrais mouiller mon maillot ?
J'aime mieux sur la touche
Dormir telle une souche,
Le poil en paix, le corps dispos,
Sans rien qui trouble mon repos.

J'ai un poil dans la patte,
Dont le format m'épate
Et qui sera ma canne quand
J'aurai votre âge, père-grand.
Épais comme une natte
Et dur comme une batte
De base-ball, il est fascinant,
Mon sceptre de roi fainéant !

J'ai un poil dans la pogne,
Et ça jase et ça grogne
Lorsque, tout beau tout bichonné,
Après que je l'aie parfumé
De mon eau de Cologne,
Je m'en vais sans vergogne
De-ci de-là le promener,
La fleur aux dents, sans me presser.

J'ai un poil dans la pince.
Peu m'importe qu'on grince
Des dents, et fi des quolibets !
Jouez, jouez de vos clapets.
Pas question que j'évince
De son trône un tel prince.
Quel ingrat vraiment je serais,
Et quel fou, si je le faisais.

Car ce poil olympien
Me préserve ô combien !
De tous les soucis qui vous stressent,
De tous les maux qui vous agressent.
Trimez, forçats humains,
Quant à moi qui vous plains,
Dans le sens du poil je caresse
La déesse nommée Paresse !

Je le partage sur les réseaux. Trop cool. Une musique sur ? Perso je déteste le taf. J'y reviendrai plus tard. Voir Vian et L' Ecume des jours justement.
Demain je suis absente de L' Ecume car je joue dans une série TV en tant que Guest-star... Meuh non... En tant que figurante !
Ce poème mérite réflexion, de plus il touche aux fondements de ma personnalité profonde et intrinsèque. Ha ha  !
Pas mal. Décontrassté...

Quelle série ?

"Le parfum du bonheur". Avec Michel Boujenah. Pub positive car ambiance de tournage excellente. Sinon restez je mets en musique votre poème pour rigoler un coup. Mais nous n'avez pas les liens ?

https://youtu.be/qGictdcNV5g?si=uKvWKJN6qjx0yJ-y

Votre poème en chanson...

Niet.moi, c'est des liens youtube.com

J'ai déjà mis une mélodie sur mon texte, comme sur d'autres. Je les chante pas, mais je les joue à l'harmo.